Syndicalistes et élèves gabonais étaient hier dans les rues de la capitale gabonaise pour porter un message unique au gouvernement : la prise en compte de leurs revendications. Pour les premiers, la revalorisation de leurs salaires et pour les seconds, la reprise des cours. Ils ont été dispersés comme il est désormais de coutume par les forces de polices qui n’ont pas hésité à lancer gaz lacrymogènes et brutalité policières.